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Bulletin de nouvelles de la SQDA  Vol.04-02

Montréal, le 15 juin 2004

LETTRE DE LA PRÉSIDENTE

 

Bonjour à tous,

La SQDA a été très occupée dernièrement avec plusieurs activités, surtout celle concernant notre campagne annuelle de sensibilisation du public sur l’abandon des animaux de compagnie pendant la période de déménagement.

Dans une superbe répétition d’une collaboration importante avec la Ville de Montréal, la SQDA a tenue une conférence de presse le 14 juin. Comme l’année passée, cette conférence de presse mettait en vedette monsieur Alan DeSousa de la Ville de Montréal et Patricia

Tulasne, notre porte-parole pour notre campagne de déménagement. J’espère que vous avez eu l’occasion d’entendre la conférence de presse de la SQDA durant les différents reportages de ce jour là.

Un grand merci à la Ville de Montréal, le conseiller Alan DeSousa et son équipe pour ce précieux partenariat qui nous aide à diffuser ce message tellement important pour les chiens et chats.

Dans les autres activités, la SQDA a tenu une vente de garage le 5-6 juin dernier à Laval, dans laquelle nous avons eu une participation

active de plusieurs de nos membres. La température était splendide et tout le monde s’est bien amusé. Par cette activité, la SQDA s’est fait connaître un peu mieux, surtout à Ste-Dorothée, Laval. Un gros merci à tous ceux et celles qui ont contribué des biens pour la vente et un grand merci à la compagnie Praxair Canada pour leur implication importante dans cette vente. Une autre vente est envisagée pour le mois d’août; donc, si vous avez des biens à nous transmettre, veuillez s.v.p. communiquer avec nous d’ici la fin juillet.

Le 11 juin dernier, de bonnes nouvelles pour les chiens et chats de la province de Québec ont été annoncées par la MAPAQ, voir les détails dans ce bulletin.

Le 26-27 juin une grosse activité aura lieu à Pointe-Claire, regroupant plusieurs refuges, les Quatres Pattes à l’Air, voir les détails dans ce bulletin.

Monsieur Back a passé à la télévision au mois d’avril pour la SQDA grâce à l’émission Canal Vox, voir notre site Web pour un clip vidéo de l’entrevue.

Bon été à tous,

Toni Andréa Belschner
Présidente


 

...VOUS DÉMÉNAGEZ! ...M'AVEZ-VOUS OUBLIÉ...?

Saviez-vous qu'au Québec, 45% des ménages possèdent un animal domestique? Et saviez-vous que cet animal sera abandonné (en moyenne) au bout de 2 ans? Au Québec, on abandonne 500,000 animaux domestiques par année, principalement pendant la période des déménagements, après les fêtes et à la fin des vacances. Voilà pourquoi cette année encore, avec une affiche dessinée par M. Frédéric Back, la SQDA lance
sa campagne : "...VOUS DÉMÉNAGEZ! ...M'AVEZ-VOUS OUBLIÉ...?" pour tenter de sensibiliser la population à cet important problème de société.
Si vous déménagez et ne pouvez amener votre animal avec vous, il est de votre devoir de lui trouver un nouveau foyer. Ne le confiez à une fourrière qu'en dernier recours, car il risque d'y être euthanasié. Mais ne l'abandonnez en aucun cas dans la rue. Et n'oubliez pas que la stérilisation est le meilleur moyen pour lutter contre la surpopulation animale, donc, contre les euthanasies massives.
 

Adopter c'est prévoir


 

 

STÉRILISATION = RESPONSABILISATION

De plus en plus de gens admettent qu'il y a au Québec un nombre croissant d'animaux errants. Cette augmentation est dûe principalement au fait qu’à chaque année, il y a près de 500 000 abandons d'animaux domestiques. Ces abandons proviennent principalement de chats qui s'approprient nos ruelles, souvent malades, affamés, presque sauvages et, de plus, non stérilisés. Chats perdus, abandonnés, principalement pendant la période des déménagements, qui, s'ils ont de la chance sont adoptés par des âmes compatissantes, mais le plus souvent finissent par mourir à cause de leurs mauvaises conditions de vie, ou par des euthanasies pratiquées dans les fourrières municipales vue le nombre accablant d’animaux et le manque de personne voulant bien les accueillir en permanence.

Certains maîtres, sans vouloir abandonner leur animal, ne voient pas d'inconvénient à le laisser se reproduire. Pourtant, on sait que si un chiot ou un chaton trouvent facilement preneur, ils sont d'après les statistiques, abandonnés au bout de deux ans et, qu'il n'y a pas assez de foyers disponibles pour tous les animaux qui naissent au Québec.

Y a t-il une alternative à ces euthanasies massives? La stérilisation semble être le meilleur moyen de contrôler la surpopulation animale. Si chaque personne réalisait qu'en laissant aller dehors un chat ou une chatte non stérilisé, ce sont des milliers de chats potentiels qui se retrouvent dans la rue, il y aurait déjà un pas de franchi. Mais les résistances sont grandes. Combien de fois n'entend-on pas dire: " Il faut laisser faire la nature." De tout temps, l'homme s'acharne à contrôler la nature, et maîtrise depuis longtemps sa propre contraception. Alors, pourquoi ces scrupules, tout à coup? Est-il plus naturel de sacrifier son animal sur la tribune de l’euthanasie ! Autre argument, souvent entendu : " Je ne veux pas frustrer mon animal. " Mais combien de chiens sont rendus fous furieux parce qu'on les empêche de satisfaire leurs instincts. Un animal stérilisé souffre moins de frustration qu'un animal abstinent. Enfin, l'argument des coûts vétérinaires ... C'est vrai. Une opération coûte cher. Et on peut se demander pourquoi les municipalités ne prennent pas une partie de leur budget de fourrière, destinées aux euthanasies, pour financer des cliniques à prix réduits. Mais une centaine de dollars, dépensés une fois pour les 15 ans de vie de votre animal, ce n'est pas la fin du monde…. Ma voiture me coûte beaucoup plus cher par année. Elle va peut-être plus vite que mon chien, mais mon chien m'aime plus que ma voiture et cet amour là n'a pas de prix. Ceux qui ne veulent pas "investir" dans un animal ne devraient tout simplement pas en avoir ; car les animaux ne doivent pas payer de leur vie notre irresponsabilité.

Adopter, c'est prévoir.

Prévoir, c’est stériliser.

Patricia Tulasne
Collaboratrice

 MARCHE-O-THON ANIMATCH

Le 2 mai dernier, a eu lieu le 4ième Marche-o-Thon annuel du refuge pour animaux de compagnie Animatch. La SQDA a été invitée à participer avec un kiosque d’information et deux membres du Conseil d’administration de la SQDA étaient de la partie, Nicole Lalonde (secrétaire) et la soussignée.

Le but du Marche-o-Thon d’Animatch est de faire une levée de fonds pour le refuge et de diffuser de l’information sur nombreux sujets, surtout canins, et de partager avec votre animal de compagnie une journée de promenade et des activités axées sur le plaisir.

Malgré la pluie, cette superbe journée se déroulait à l’arboretum Morgan situé à Sainte-Anne-de-Bellevue et les participants étaient nombreux. Outre les propriétaires d'animaux ou les sympatisants, un vétérinaire était sur les lieux toute la journée, le Dr. Loraine Pilon de l’hôpital vétérinaire des Trois-Lacs de Vaudreuil/Dorion assisté de techniciens en sciences vétérinaires en vélo qui accompagnaient les « marcheurs » pour être présents en cas d’urgence; deux représentants de la brigade canine de l’Agence des douanes et du revenu du Canada étaient là naturellement accompagnés d’un membre de « l’escouade » canine (Mollie); cette année il y avait Sauvetage Canada (un organisme constitué entièrement de bénévoles bipèdes et quadrupèdes, mission : sauver des vies à des humains), une représentante de la revue « Modern Dog »; des fournisseurs de produits et services pour animaux (notamment Nutro qui était très généreux avec les échantillons et « Barney’s Biscuits ») , le refuge pour cobayes (Jodie’s Jiggley Piggley Farm) et bien sûr des chiens en adoption d’Animatch. Les gens qui étaient venus sans animal ont pu s'en occuper et les gâter tout au long de la journée!

Mise à part la marche, de nombreuses petites activités pour plaire à tous se déroulaient au courant de la journée. L’activité va sans doute se répéter l’année prochaine et c’est à ne pas manquer (le Marche-o-Thon est normalement prévu pour la première fin de semaine du mois de mai) . Pour en savoir plus sur le refuge Animatch, veuillez visiter leur site à l’adresse suivante:
 www.animatch.ca

Sur une même note, à surveiller la SPCA de la Montérégie organise un Marche-o-Thon chaque année à la fin du mois de mai. Cette année leur Marche-o-Thon a eu lieu le 30 mai dernier à St-Lambert.

Veuillez surveiller le site Web d’Animatch et de la SPCA de la Montérégie ou bien celle de la SQDA pour obtenir les dates pour les prochains Marche-o-Thon pour 2005.

Toni Andréa Belschner

 

LES ÉLEVAGES D’ANIMAUX SERONT INSPECTÉS

Presse Canadienne
Le 11 juin 2004 - 19:21

À compter de cet automne, les lieux d'élevage d'animaux de compagnie au Québec seront inspectés en vue de mettre fin aux mauvais traitements et à l'insalubrité.

Le gouvernement du Québec a annoncé vendredi une entente avec ANIMA-Québec qui fera l'inspection des éleveurs. Selon Radio-Canada, l'organisme recevra 450,000 $ sur trois ans pour vérifier les soins prodigués aux bêtes, leur alimentation et la salubrité des lieux.

Une loi sur la protection sanitaire des animaux existe depuis 1993 mais elle n'a jamais été mise en oeuvre.

Or, de nombreuses plaintes ont été déposées contre ce qu'on appelle des « usines à chiots », c'est-à-dire des éleveurs illégaux qui maltraitent les bêtes. On compterait une centaine de ces chenils délinquants au Québec.

 

 COMMENT AS-TU OSÉ?

"Une pensée provoquante: un message de quelqu'un qui écrit pour ceux qui ne peuvent pas parler ou écrire pour eux-mêmes"

Par Jim Willis, 2001

Quand j’étais un chiot, je t’amusais avec mes singeries et je te faisais rire. Tu m’appelais ton enfant, et en dépit d’un certain nombre de chaussures mâchées et quelques oreillers déchiquetées, je devenais ton meilleur ami.

Toutes les fois que j'étais méchant, tu secouais ton doigt et me demandais "comment as-tu osé?" -- mais alors tu n’étais plus fâché et tu me roulais pour frotter mon ventre.

Mon entraînement a pris un peu plus long que prévu, parce que tu étais terriblement occupé, mais nous avons travaillé ensemble. Je me rappelle ces nuits passées dans le lit en écoutant tes confidences et rêves secrets, et moi j’ai cru que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.

Nous allions prendre de longues marches et courir dans le parc, nous montions en voiture, arrêtions pour de la crème glacée (tu me donnais seulement le cornet car tu disais que la crème glacée était mauvaise pour un chien), et je faisais de longs sommeils en t’attendant.

Tu passais plus de temps au travail et sur ta carrière, et plus de temps à chercher pour un compagnon humain. Je t'attendais patiemment, te soulageais à travers d’immenses déceptions, je ne te réprimandais jamais au sujet d’une mauvaise décision, et j’étais heureux quand tu arrivais à la maison, et quand tu étais amoureux.

Maintenant ton épouse n’aime pas les chiens, je l'ai accueilli dans ta maison, j’ai essayé de lui montrer de l’affection, et de lui obéir. J’étais heureux parce que tu étais heureux.

Alors les bébés humains sont arrivés et j’ai partagé votre bonheur. J’étais fasciné par leur couleur et voulais les sentir, et devenir leur mère. Vous pensiez que je pouvais les blesser et, je passais plus de temps dans une autre pièce, ou dans ma cage. OH, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un prisonnier en amour!

Quand ils ont commencé à grandir, j’ai été leur ami. Ils s’accrochaient à ma fourrure pour essayer de se lever sur leurs jambes tremblantes, mettaient un doigt dans mon oeil, étudiaient mes oreilles, et me donnaient un bec sur le nez. J’aimais tout à leur sujet. J’aimais leur toucher parce que ton toucher était maintenant assez peu fréquent, je les aurais défendu avec ma vie. Je m’étendais dans leur lit et j’écoutais leur rêve secret, et ensemble nous attendions pour le bruit de ta voiture dans l’allée.

Il y avait un temps, quand d'autres ont demandé si tu avais un chien, que tu leur montrais une photo de moi et tu leur racontais des histoires à mon sujet. Ces dernières années, tu ne répond seulement que "oui" et tu changes le sujet. Je suis passé d'être "ton chien" à "juste un chien," et tu es offensé par chaque dépense faite pour moi.

Maintenant, tu as une nouvelle carrière dans une autre ville, et toi et ta famille déménageront dans un appartement qui ne permet pas d’animaux de compagnie. Tu as pris la bonne décision pour ta "famille," mais il y avait un temps où j'étais ta seule famille.

J'étais excité du tour de voiture jusqu'à ce que nous soyons arrivés au refuge pour les animaux. Le refuge sentait des chiens et des chats, de la crainte, et du désespoir. Tu as complété des papiers et dit "je sais que vous trouverez une bon foyer pour lui." Elles ont levé les épaules et vous ont donné un regard peiné. Elles comprennent la réalité faisant face à un chien âgé, même un avec des "papiers."

Tu as enlevé les doigts de ton fils de mon collier pendant qu'il criait, "non, papa ! S’il vous plaît ne les laisse pas prendre mon chien!" Et je me suis inquiété pour lui, et quelles leçons tu lui avais juste enseignées au sujet de l'amitié et fidélité, au sujet de l'amour et responsabilité, et au sujet du respect pendant toute la vie.

Tu m’as dit bonjour, as évité mes yeux, et as poliment refusé de prendre mon collier et ma laisse avec toi. Tu avais une date limite à rencontrer et maintenant
j'en ai une, aussi. Après que tu es parti, les deux gentilles dames ont dit que tu savais depuis plusieurs mois que tu déménagerais et n'a fait aucune tentative de me trouver une autre bon foyer. Elles ont secoué leurs têtes et ont demandé "comment a-t’il osé?"

Ici, elles sont aussi attentives que le temps le permet. Elles nous nourissent, naturellement, mais j'ai perdu mon appétit il y a plusieurs jours.

Au début, toutes les fois que quelqu'un passait devant mon enclos, je me
suis précipité à l'avant, espérait que tu avais changé d'avis mais c'était tout un mauvais rêve... ou j'ai espéré qu'il existait au moins quelqu'un qui s'était inquiété, n'importe qui qui pourrait me sauver.
Quand j'ai réalisé que je ne pouvais pas avoir une attention comme celle des chiots heureux, inconscients de leur propre destin, je me suis caché dans un coin et j’ai attendu. J'ai entendu ses bruits de pas pendant qu'elle venait me chercher, et je l’ai suivi jusqu’ à une salle séparée. Une salle d’un silence bienfaisant.

Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles. Elle m’a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait fort en prévision de ce qui se passerait, mais il y avait également un sentiment de soulagement. Le prisonnier de l'amour était rendu à son dernier jour.

Comme dans ma nature, j’étais davantage préoccupé par elle. Le fardeau qu'elle portait pesait fortement sur elle, et je savais cela, de la même façon que j'avais connu chacune de tes humeurs.

Quand elle a placé un tourniquet autour ma patte, j’ai vu qu’elle pleurait. J’ai léché sa main de la même manière que je le faisais pour te réconforter.

Elle a glissé une aiguille dans ma veine. Comme je sentais le piqûre et le liquide froid courir à travers mon corps, je commencais à m’endormir et, l’ai regardé d’un air aimable et murmuré "comment as-tu osé?"

Peut-être parce qu’elle comprenait mon langage, elle me dit "je suis désolée." Elle m’a caressé et m’a expliqué que s’était son travail et qu’elle veillait à ce que je me rende dans un meilleur monde, où je ne serait plus ignoré ou maltraité ou abandonné, ou devoir me défendre - un endroit où l’amour et la lumière étaient si différent de cet endroit terrestre.

Avec un dernier effort, j'ai essayé de lui montrer que mon "comment as-tu osé?" n’était pas dirigé vers elle. Je le dirigeais vers mon maître bien aimé; celui à qui je pensais. Je penserai et j’attendrai toujours mon maître. J’espère que toutes les personnes dans ta vie continueront à te démontrer autant de fidélité que j’ai pu le faire.

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Note de l’auteur
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Si "Comment as-tu osé" vous a fait pleurer quand vous l’avez lu, comme il a fait quand je l'ai écrit, c’est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux de compagnie "autrefois adoptés" qui meurent tous les ans dans les refuges d’animaux américains et canadiens. N'importe qui est bienvenu pour distribuer ce texte pour un but non-lucratif, aussi longtemps que les droits d’auteur sont correctement indiqués. Veuillez l'employer pour aider à instruire, sur vos sites Web, en bulletins, sur les tableaux d'affichage de refuges d’animaux et de
vétérinaire. Dites au public que la décision d’adopter un animal de compagnie dans la famille est importante pendant toute une vie, que les animaux méritent notre amour et bons soins. La décision de trouver un autre foyer approprié pour votre animal est votre responsabilité et n'importe quelle ligue humanitaire locale de protection des animaux de société peut vous offrir de bons conseils. Toute vie est précieuse. Veuillez faire votre part pour arrêter le massacre, et encouragez toutes les campagnes pour opérer les animaux afin d'empêcher les non-désirés. Jim Willis

soyons arrives au refuge pour les animaux. Le refuge sentait des chiens et des chats, de la crainte, et du désespoir. Tu as complété des papiers et dit "je sais que vous trouverez un bon foyer pour lui." Elles ont levé les épaules et vous ont donné un regard peiné. Elles comprennent la réalité faisant face à un chien âgé, même un avec des "papiers."

Tu as enlevé les doigts de ton fils de mon collier pendant qu'il criait, "non, papa ! S’il vous plaît ne les laisse pas prendre mon chien!" Et je me suis inquiété pour lui, et quelles leçons tu lui avais juste enseignées au sujet de l'amitié et fidélité, au sujet de l'amour et responsabilité, et au sujet du respect pendant toute la vie.

Tu m’as dit bonjour, as évité mes yeux, et as poliment refusé de prendre mon collier et ma laisse avec toi. Tu avais une date limite à rencontrer et maintenant j'en ai une, aussi. Après que tu sois parti, les deux gentilles dames ont dit que tu savais depuis plusieurs mois que tu déménagerais et tu n'a fait aucune tentative de me trouver une autre bon foyer. Elles ont secoué leurs têtes et ont demandé "comment a-t’il osé?"

Ici, elles sont aussi attentives que le temps le permet. Elles nous nourissent, naturellement, mais j'ai perdu mon appétit il y a plusieurs jours.

Au début, toutes les fois que quelqu'un passait devant mon enclos, je me suis précipité à l'avant. J’espérait que tu avais changé d'avis mais c'était tout un mauvais rêve... ou j'ai espéré qu'il existait au moins quelqu'un qui s'était inquiété, n'importe qui qui pourrait me sauver.

Quand j'ai réalisé que je ne pouvais pas avoir une attention comme celle des chiots heureux, inconscients de leur propre destin, je me suis caché dans un coin et j’ai attendu. J'ai entendu ses bruits de pas pendant qu'elle venait me chercher, et je l’ai suivie jusqu’ à une salle séparée, une salle d’un silence bienfaisant.

Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles. Elle m’a dit de ne pas m'inquiéter. Mon coeur battait fort en prévision de ce qui se passerait, mais il y avait également un sentiment de soulagement. Le prisonnier de l'amour était rendu à son dernier jour.

Comme dans ma nature, j’étais davantage préoccupé par elle. Le fardeau qu'elle portait pesait fortement sur elle, et je savais cela, de la même façon que j'avais connu chacune de tes humeurs.
Quand elle a placé un tourniquet autour ma patte, j’ai vu qu’elle pleurait. J’ai léché sa main de la même manière que je le faisais pour te réconforter.

Elle a glissé une aiguille dans ma veine. Comme je sentais la piqûre et le liquide froid courir à travers mon corps, je commencais à m’endormir et, l’ai regardé d’un air aimable et murmuré "comment as-tu osé?"

Peut-être parce qu’elle comprenait mon langage, elle me dit "je suis désolée." Elle m’a caressé et m’a expliqué que s’était son travail et qu’elle veillait à ce que je me rende dans un meilleur monde, où je ni serais plus ignoré ou maltraité ou abandonné, ou devoir me défendre - un endroit où l’amour et la lumière étaient si différents de cet endroit terrestre.

Avec un dernier effort, j'ai essayé de lui montrer que mon "comment as-tu osé?" n’était pas dirigé vers elle. Je le dirigeais vers mon maître bien aimé; celui à qui je pensais. Je penserai et j’attendrai toujours mon maître. J’espère que toutes les personnes dans ta vie continueront à te démontrer autant de fidélité que j’ai pu le faire.

Note de l’auteur


Si "Comment as-tu osé" vous a fait pleurer quand vous l’avez lu, comme il a fait quand je l'ai écrit, c’est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux de compagnie "autrefois adoptés" qui meurent tous les ans dans les refuges d’animaux américains et canadiens. N'importe qui est bienvenu pour distribuer ce texte pour un but non-lucratif, aussi longtemps que les droits d’auteur sont correctement indiqués. Veuillez l'employer pour aider à instruire, sur vos sites Web, en bulletins, sur les tableaux d'affichage de refuges d’animaux et de
vétérinaire. Dites au public que la décision d’adopter un animal de compagnie dans la famille est importante pendant toute une vie, que les animaux méritent notre amour et bons soins. La décision de trouver un autre foyer approprié pour votre animal est votre responsabilité et n'importe quelle ligue humanitaire locale de protection des animaux de société peut vous offrir de bons conseils. Toute vie est précieuse. Veuillez faire votre part pour arrêter le massacre, et encouragez toutes les campagnes pour opérer les animaux afin d'empêcher les non-désirés. a fait pleurer quand vous l’avez lu, comme il a fait quand je l'ai écrit, c’est parce que c'est l'histoire de millions d'animaux de compagnie "autrefois adoptés" qui meurent tous les ans dans les refuges d’animaux américains et canadiens. N'importe qui est bienvenu pour distribuer ce texte pour un but non-lucratif, aussi longtemps que les droits d’auteur sont correctement indiqués. Veuillez l'employer pour aider à instruire, sur vos sites Web, en bulletins, sur les tableaux d'affichage de refuges d’animaux et de vétérinaires. Dites au public que la décision d’adopter un animal de compagnie dans la famille est importante pendant toute une vie, que les animaux méritent notre amour et nos bons soins. La décision de trouver un autre foyer approprié pour votre animal est votre responsabilité et n'importe quelle ligue humanitaire locale de protection des animaux de compagnie peut vous offrir de bons conseils. Toute vie est précieuse. Veuillez faire votre part pour arrêter le massacre, et encouragez toutes les campagnes pour stériliser les animaux afin d'empêcher les indésirables.

Jim Willis

 

LES QUATRES PATTES À L’AIR

C’est un premier événement de ce genre au Québec.

Plus de 13 refuges et sociétés d'adoption se réuniront sous une ÉNORME tente de 120 pieds de long à Pointe-Claire.
Tous les invités se doivent d’adhérer strictement aux règles et  règlements tels que la stérilisation, les procédures appropriées d'adoption, la santé et le bien-être des animaux qui sont offerts pour l'adoption. Il y aura des kiosques d'information, des vétérinaires, la nutrition, l’entraînement, des biscuits Barney’s pour chiens et bien davantage !!
C'est un événement qui mérite vraiment la promotion et la visibilité.
Veuillez faire votre partie en circulant le mot, l’adoption c’est l’option !!! 

LA SQDA SERA PRÉSENTE À CETTE ACTIVITÉ IMPORTANTE… ET VOUS ?
 

 

 
 

REMERCIEMENTS:

Je voudrais remercier tous ceux et celles, membres du C.A., collaborateurs, bénévoles, membres de la SQDA, la Ville de Montréal, nos commanditaires (ACQ, Déménageur.ca, Litho Express, Mondou et Trans Form Exact), la compagnie Praxair Canada, tous ceux qui contribuent à Centraide, tous ceux qui encouragent la SQDA avec Lotomatique, Canal Vox, refuges et amis de la SQDA, car sans leurs dévouements notre campagne de déménagement n’aura pas eu le succès qu’elle vie dans le moment. J’aimerais remercier spécifiquement Frédéric Back, Richard Barlow, Marc Lafrance, Nicole et Richard Lalonde et Patricia Tulasne pour leur aide hors pair durant la campagne.

Je profite aussi de l’occasion pour remercier Me Anne-Marie Bourgouin, Chantal Lafleur, Geneviève Mercier, Geneviève Tétrault, Me Marie-Paule Combiescou, Jeanine Alfieri, Patrick Normand, Richard Jones de Smartmoves.ca, Alan De Sousa, Jean-René Marchand et Richard Thériault et Suzanne Ellefsen de la Ville de Montréal, Mme Kenneville de la Ville de Laval, Ghislain Arsenault, Pierre Gauthier, Me François de Latrémoille, Carmen Camden, Monique Landry, Animatch, Henriette Nadeau et famille d’Irène Pelchat, Dr. Loraine Pilon, Julienne Gauthier (si j’ai oublié quelqu’un ce n’était pas par omission volontaire, et je m’en excuse profondément.)

Toni Andréa Belchner


 

 
 

La SQDA remercie ses commanditaires et vous recommande de les remercier en personne et/ou de les encourager.

                                                                LITHO EXPRESS

info@lithoexpress.ca

www.smartmoves.ca / www.déménageur.ca

ACQ

info@nexmove.com

MONDOU

info@mondou.com

TRANS-FORM EXACT 
al@transformexact.com
 

 

 
 

S Q D A

  Société Québécoise pour la Défense des Animaux

847, rue Cherrier, bureau 102, Montréal, Québec H2L 1H6

Tél: (514) 524-1970

 

 

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